57 Milliards d’Euros : c’est le chiffre d’affaire réalisé par les sites E-commerce en France en 2014, et annoncé le 27 janvier par Carole Delga, Secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire, sur la base du rapport annuel que lui a remis la FEVAD.
Le secteur continue sa belle progression (+11%), sous des formes diverses, et s’inscrit dans une mutation inexorable des usages des consommateurs pour qui il est désormais aussi naturel de faire du shopping sur le net qu’en boutique. La France étant plutôt bien dotée puisqu’elle reste le 3ème marché d’Europe après le Royaume-Uni et l’Allemagne
Pour preuve, il suffit de compter chaque soir le nombre de spots publicitaires dédiés à des produits ou des services disponibles (parfois uniquement) sur le web.
Plus de sites réalisant plus de chiffre
Si l’on observe les entreprises qui se cachent derrière ces bons résultats, on observe des mastodontes indétrônables, des pure players bien ancrés sur leur marché, mais également des entreprises qui se lancent chaque jour dans la bataille du web. Le nombre de nouveaux sites marchands enregistre d’ailleurs une hausse de 14% cette année par rapport à l’année dernière.
Ces PME sont souvent des entreprises commerçantes traditionnelles et cherchant à gagner des parts de marché (ou le plus souvent à ne pas en perdre) et donc à acquérir les savoirs et les techniques nécessaires pour développer ce nouveau canal de vente. On trouve encore, des entreprises créées par des « digital natives », c’est-à-dire des entrepreneurs arrivant à la trentaine mais qui ont grandi dans un environnement numérique et intègrent tout naturellement les enjeux du commerce en ligne, sans même se poser la question du « pourquoi ?, mais plutôt celle du « comment ? »
On constate aussi que la plupart de ces e-commerces restent des petites structures, la grande majorité comptant de 1 à 5 employés.
Face à cette recrudescence de sites e-commerce, il n’y a pas un domaine d’activité où la compétition ne fasse pas rage ! Alors autant être bien armé…
Suite à ces constats, nous nous sentons confortés dans notre choix de proposer une solution puissante mais simple d’accès et surtout déjà orientée cross-canal.
Des clients qui achètent plus souvent sur tous les supports
Certes, la consommation des ménages n’est pas encore au beau fixe. Cependant, les clients achètent plus souvent sur internet, ce qui traduit la confiance qu’ils accordent aux sites marchands et confirme le transfert des achats du commerce traditionnel vers le web. Lorsqu’un client achetait en moyenne 18 fois sur le net dans l’année en 2013, c’est 20 fois en 2014, toujours en moyenne, qu’il aura cédé aux sirènes du shopping en ligne.
Enfin, le bond de l’internet mobile se confirme et bénéficie bien évidemment à la vente en ligne. Ces supports progressent de plus de 60% en un an pour représenter 16% des ventes. Cet aspect n’est donc plus à négliger lors de la mise en place ou la refonte d’un projet e-commerce. Il est donc essentiel que comme Oasis 7, votre plateforme possède une déclinaison mobile, optimisée pour tous les supports nomades.
Et comme l’a souligné, la Secrétaire d’Etat chargée du Commerce, Carole Delga, lors de cette présentation « Je souhaite que le commerce traditionnel […] accède plus facilement au e-commerce. »
Nous aussi. Pas vous ?